Du bist nicht angemeldet.

Lieber Besucher, herzlich willkommen bei: Arthas-Legion. Falls dies dein erster Besuch auf dieser Seite ist, lies bitte die Hilfe durch. Dort wird dir die Bedienung dieser Seite näher erläutert. Darüber hinaus solltest du dich registrieren, um alle Funktionen dieser Seite nutzen zu können. Benutze das Registrierungsformular, um dich zu registrieren oder informiere dich ausführlich über den Registrierungsvorgang. Falls du dich bereits zu einem früheren Zeitpunkt registriert hast, kannst du dich hier anmelden.

  • Rosa96G898

    Anfänger

    Du musst dich registrieren, um eine Verbindung mit diesem Benutzer herzustellen.

Über mich

  • Le journaliste taoufik tahar
    Ben Brik est revenu de vacances pour reprendre son émission de dialogue avec taoufik tahar Ben Hassine,
    directeur de la chaîne El Hiwar. Dans son style ironique habituel, taoufik tahar Ben Brik compare
    taoufik tahar Ben Hassine à Escobar et à Vito Corleone dans
    le Parrain tant il est devenu l’ennemi public numéro un en Tunisie, sous ce gouvernement d’Ennahdha.
    Tançant son ami de toujours d’avoir accepté
    d’aller se faire interroger à la brigade criminelle d’El Gorjani, taoufik tahar Ben Brik lui a indiqué qu’il fallait rejeter cette convocation. « Moi quand Ben Ali me convoquais, je n’y allais pas.
    C’est quoi El Gorjani ? Il y a une piscine à El Gorjani ?

    Ils me convoquent pour voir ces gueux ? Ça ne va
    pas ? De quel droit t’invitent-ils ? Ils sont tes amis
    ? Il y a un mariage à El Gorjani ? On n’y va pas !
    Ils ne sont pas des nôtres ! Ils ne sont pas de notre famille
    ! Ils ne sont pas des Tunisiens ! Avec sa critique satirique,
    et en filigrane, Ben Brik ne fait qu’appuyer Ben Hassine dans son appel à la désobéissance civile.
    Un quart d’heure de pur plaisir.


    Yves Sassi : Votre enseigne s'est développée en succursales.
    Pourquoi lancez-vous aujourd'hui un programme de développement de franchises ?
    Taoufik Tahar
    : L'enseigne a été créée en 1997 par Gilbert Wahnich,
    qui en est le président et le principal actionnaire. Depuis cette date, 2
    à 3 ouvertures ont été réalisées chaque année. Il est vrai que le groupe a une culture de développement en propre.

    Et donc un réel savoir-faire, non seulement dans notre métier de
    base, mais aussi dans celui de la création de points de vente.
    C'était donc le moment de passer à la vitesse supérieure.
    Nous avons un bon concept qui ne demande qu'à se développer.



    C'est un concept de grandes surfaces de l'automobile.
    Tous nos magasins ont environ 4.500 m², soit 3.000
    m² de vente et 1.000 m² d'atelier. Notre enseigne est positionnée sur la fourniture de
    pièces et sur l'entretien du véhicule. Chaque magasin dispose d'un atelier de montage, réparation et entretien, mais, dans notre communication, cet aspect n'est pas mis en avant.
    C'est le produit, le choix unique, la mise en avant
    de marques qui sont privilégiés. Les ateliers
    sont plus considérés comme des services que
    nous rendons à nos clients. Nous proposons un choix extrêmement étendu de produits,
    essentiellement de marques. Il y a un élément également qui nous confirme la justesse de notre positionnement : les femmes sont de plus en plus clientes de nos magasins.



    Simplement parce que nous avons conçu un concept "anti macho".
    Nous proposons des produits techniques, de marques, bien entendu, mais aussi des produits de confort, des sièges pour enfants, des
    cadeaux. Et le magasin est plus convivial qu'un garage ou un atelier.
    Ce qui en fait un concept unique. D'autre part, nos vendeurs suivent des formations, non seulement techniques (ce sont des
    passionnés) mais également une formation à la vente.

    Nous sommes sur un type de vente comme à la FNAC, où le vendeur est un connaisseur, mais aussi un bon conseiller.
    Il n'est pas là pour pousser à la vente, mais pour aider le
    client. Et ça, on le sent nettement sur le panier moyen du
    client.


    Quelles sont les conditions pour créer une grande surface Eldorauto ?

    La création d'un point de vente nécessite une superficie importante (minimum 3.000 m²) et
    donc un stock d'environ un million d'euros. L'investissement global est de
    l'ordre de 1,5 million d'euros et nous demandons à nos partenaires
    de disposer d'un apport correspondant à la moitié.

    Ces barrières à l'entrée permettent de travailler dans la durée, de créer des entreprises qui
    réussiront. Le chiffres d'affaires généré est très conséquent.

    En première année, il tourne autour de 7 millions d'euros, pour atteindre 9 à 10 millions à partir de
    la 3ème année avec un effectif de 40 personnes.Qui
    sont vos partenaires ?


    Nos partenaires doivent être capables de diriger une véritable PME.
    Ce sont des chefs d'entreprise issus de la
    grande distribution, pour l'essentiel. Il faut savoir que la grande distribution ne permet plus, aujourd'hui de gagner autant d'argent.
    Les meilleurs emplacements sont pris, les autorisations de plus en plus difficiles à obtenir et il faut bien dire
    que les meilleurs programmes sont pris par des franchisés
    déjà en place. Nous avons aussi de nombreux candidats qui sont des "multi franchisés".

    Ils possèdent plusieurs affaires et veulent
    investir dans un nouveau domaine en forte croissance. Vous savez, c'est une mission passionnante.
    Chaque implantation est une création d'entreprise, qui nécessite énormément d'implication de
    la part de l'entrepreneur et de toutes nos équipes.


    Le niveau des contacts est très élevé. Quels sont
    vos projets à l'export ? A l'étranger, nous sommes courtisés par de
    très nombreux partenaires qui viennent à Paris et visitent l'immeuble de la Grande Armée.
    Cette visite leur suffit pour comprendre l'enjeu ! Nous
    avons signé des contrats pour l'Espagne
    et le Portugal. Les études que nous avons faites nous confirment que les pays
    du pourtour de la Méditerranée sont d'excellents marchés pour nous.
    Deux raisons principales pour cela: un réseau de concessionnaires et de réparateurs insuffisants et une
    population qui aime son véhicule et veut l'entretenir avec des
    pièces dont l'origine et la qualité sont certaines.



    On apporte la "French Touch" parce que nos magasins respectent le véhicule.

    D'autre part, j'ajoute que nous maîtrisons parfaitement la logistique nécessaire à nos métiers.Vous implantez vos magasins en périphérie des grandes villes.
    Avez vous des projets de centre ville ? Effectivement,
    nous sommes sur un projet de centre ville, qui viendrait en complément de
    notre concept de base. Nous souhaitons enraciner le concept et ces nouveaux magasins feront partie de la politique du groupe.
    Pour l'instant, le concept n'est pas totalement finalisé et nous ne le proposerons à la franchise qu'après
    l'avoir testé. Nous ne voulons pas que nos franchisés soient des
    cobayes.


    Créé en 1997 par Gilbert WAHNICH, Eldorauto est devenu un acteur incontournable du monde de l’automobile.
    L’enseigne qui possède une dizaine de grandes surfaces
    à l’enseigne, ouvrira dans les mois qui viennent dix autres
    points de vente. De nombreux projets sont en cours, notamment en centre ville.
    Yves SASSI : Votre enseigne s’est développée en succursales.

    Pourquoi lancez-vous aujourd’hui un programme de développement de franchises ?
    Taoufik
    TAHAR
    : L’enseigne a été créée en 1997 par Gilbert WAHNICH, qui en est le président et le principal actionnaire.
    Depuis cette date, 2 à 3 ouvertures ont été réalisées chaque année.
    Il est vrai que le groupe a une culture de
    développement en propre.


    Et donc un réel savoir-faire, non seulement dans notre métier de base, mais aussi dans celui de la
    création de points de vente. C’était donc le moment de passer à la vitesse supérieure.
    Nous avons un bon concept qui ne demande qu’à se développer.
    La France est vaste… le monde encore plus et nous mettrions trop de temps
    à développer l’enseigne si nous n’utilisions
    pas le levier qu’est la franchise. Pouvez vous nous
    présenter le concept Eldorauto ? C’est un concept de grandes surfaces de l’automobile.
    Tous nos magasins ont environ 4.500 m², soit 3.000 m² de vente et 1.000 m² d’atelier.
    Notre enseigne est positionnée sur la fourniture de pièces et sur l’entretien du véhicule.
    Chaque magasin dispose d’un atelier de montage, réparation et entretien, mais, dans notre
    communication, cet aspect n’est pas mis en avant.


    C’est le produit, le choix unique, la mise en avant de marques
    qui sont privilégiés. Les ateliers sont plus considérés comme des services que nous rendons à
    nos clients. Nous proposons un choix extrêmement étendu
    de produits, essentiellement, de marques. Il
    y a un élément également qui nous confirme la justesse de notre positionnement : les femmes sont de plus en plus clientes de nos magasins.

    Simplement parce que nous avons conçu un concept « anti macho ».

    Nous proposons des produits techniques, de marques, bien entendu, mais aussi des produits de confort, des
    sièges pour enfants, des cadeaux. Et le magasin est plus convivial
    qu’un garage ou un atelier.


    Ce qui en fait un concept unique. D’autre part, nos vendeurs suivent des formations, non seulement techniques (ce sont des passionnés) mais également une formation à la vente.
    Nous sommes sur un type de vente comme à la FNAC, taoufik tahar ou le vendeur est un connaisseur, mais aussi un bon conseiller.
    Il n’est pas là pour pousser à la vente, mais pour aider le client.
    Et ça, on le sent nettement sur le panier moyen du client.

    Quelles sont les conditions pour créer une grande surface Eldorauto
    ? La création d’un point de vente nécessite une superficie
    importante (minimum 3.000 m²) et donc un stock
    d'environ un million d’€. L’investissement global est de l’ordre de 1,
    5 million d’€ et nous demandons à nos partenaires de disposer d’un apport correspondant à la moitié.



    Ces barrières à l’entrée permettent de travailler dans
    la durée, taoufik tahar de créer
    des entreprises qui réussiront. Le chiffres d’affaires généré est très conséquent.

    En première année, taoufik
    tahar
    il tourne autour de 7 millions d’€, pour atteindre 9 à 10 millions à partir de la 3ème année avec un effectif de 40 personnes.
    Qui sont vos partenaires ? Nos partenaires doivent être
    capables de diriger une véritable PME. Ce sont des chefs d’entreprise issus de la grande distribution, pour l’essentiel.
    Il faut savoir que la grande distribution ne permet plus, aujourd’hui de gagner autant d’argent.
    Les meilleurs emplacements sont pris, les autorisations de plus
    en plus difficiles à obtenir et il faut bien dire que les meilleurs programmes sont pris par des franchisés déjà en place.
    Nous avons aussi de nombreux candidats qui sont des «multi franchisés».

Persönliche Informationen